Petite explication de titre : pour celles et ceux qui ne le sauraient pas, Bree Van De Kamp est un personnage de la série américaine "Desperate Housewives" qui a pour particularité d'être maniaque. Très maniaque.
Vous allez comprendre la raison d'une telle référence culturelle sur ce blog.
Hier a sonné les retrouvailles du Chef et du Bleu. Et celles du Chef et de The Bold Bold. Le terrible duo - surnommé "le duo de choc" par le Bleu - s'est retrouvé après des semaines de vacances. Et comme vous le savez, quand le Bleu est au-milieu du duo, ce n'est jamais très bon.
Pour le Bleu, s'entend.
Ainsi, alors qu'ils passaient tous deux près du bureau du Bleu, le Chef et The Bold Bold se sont regardés. Et comme pour la fois où ils ont mis le Bleu la tête à l'envers, ont eu la même pensée. À savoir quelque peu réaménager le bureau du Bleu.
Et là, vous allez comprendre le titre de cette note.
Le Chef commence à faire tomber le chevalet du Bleu. Bon, ça, le Bleu y est habitué.
The Bold Bold enchaîne en renversant quelques magazines. Ca aussi, le Bleu a l'habitude.
Et puis, tout tombe, s'étale, sous les yeux effarés du Bleu : téléphone, dossiers, stylos, agrafes, trombones...
Tout est là, sur le bureau du Bleu, en un bon désordre anarchique.
Le Bleu est sous le choc.
Le Chef et The Bold Bold sont hilares.
Le Bleu : Alors là... Vous allez m'aider à ranger.
Le Chef : Le Bleu, ça ne serait pas drôle si on le faisait. C'est comme si tu arrosais une personne et qu'après, tu l'aidais à se sécher...
Le Bleu : Oui mais... Vous êtes censés être les plus adultes de nous 3.
The Bold Bold : Les quoi ?
Le Bleu : Adultes. Vous avez la cinquantaine tous les deux, vous avez presque le double de mon âge... Vous devriez être les adultes, pas moi.
Le Chef : Non, le Bleu, nous sommes des enfants.
Le Bleu : Oui surtout quand je suis seule avec vous. J'ai l'impression de cristalliser vos gamineries. Y a qu'avec moi que vous êtes comme ça.
Le Chef : Mais le Bleu, c'est parce que tu es le Bleu.
Le Bleu : Ca doit être ça.
Vous l'aurez sans doute compris, le Bleu n'a pas trop apprécié la blague. Enfin surtout le fait que le Chef et the Bold Bold ne l'aient pas aidé à ranger. Bon, ok, le Bleu avoue : il a peut-être un côté Bree Van De Kamp (oui, Chef, vous avez raison... un peu).
Le Bleu a alors essayé de renouer avec ses vieux fantômes et de bouder le Chef. Oui, comme un enfant. Ce n'est pas très glorieux, le Bleu l'accorde aujourd'hui. Mais bon, quand on est vexé, on fait un peu n'importe quoi.
Sauf que la susceptibilité du Bleu n'a pas résisté bien longtemps... 1 minute 30 à tout casser.
C'est ça, le pouvoir du Chef.
Aujourd'hui, autour du café du matin, le Chef et le Bleu reparlent de la blague ; le Chef fait alors preuve, comme toujours, de bienveillance (et je vous interdis de dire que je flagorne !!) :
Le Chef : Le but n'était pas de te vexer, c'était une blague bon enfant...
Le Bleu : Je le sais. Mais c'était pas la première fois. Le côté répétitif peut-être m'a gêné...
Le Chef : Le Bleu, j'ai noté que ça t'avait blessée, je ne le referai pas.
Le Bleu : Oui, mais... Je sais que ça me manquerait. Je sais, je suis paradoxale.
Le Chef : On l'est tous.
Puis, plus tard, alors que le Chef raconte à un membre de sa nouvelle équipe (oui, le Chef va avoir une nouvelle équipe, sans le Bleu) la blague ainsi que l'épisode du cochon pendu, il se tourne vers le Bleu :
Le Chef : On a fait ça parce qu'on t'aime beaucoup, le Bleu.
Le Bleu : Oh ! C'est trop d'amour. C'est mignon.
Conclusion : Même si le Bleu doit encore et toujours se méfier des quinquas (cf. les notes précédentes), il ne peut pas être susceptible car qui aime bien châtie bien. Et le Bleu a quand même de la chance d'avoir le Chef et The Bold Bold...
Oui c'est la minute "guimauve" mais faut bien en profiter car dans 25 jours, les aventures du Bleu cesseront vu que le Chef ne sera plus le chef du Bleu...
Alors profitons !
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