samedi 15 décembre 2012

La relève

Ami(e)s du Bleu et du Chef, bonsoir

Vous êtes entrain de lire la dernière note de ce blog de l'année 2012 (et peut-être la dernière note tout court si la fin du monde a bien lieu).
Pour quelle raison, me demandez-vous ? 
Parce que le Bleu s'envole vers d'autres cieux.
Non, rassurez-vous, il ne quitte pas son poste et le Chef. Enfin, pas vraiment. Bref : le Bleu n'a pas démissionné, il n'a pas non plus eu gain de cause et n'a pas changé de surnom (le Chef est résistant !).
Le Bleu est simplement en vacances !!!!!!!!!!!!!
(Et le Chef aussi, diront les perfides)
...
Mais rassurez-vous : le Bleu a pensé à vous et au Chef. Le Bleu sent que le Chef va s'ennuyer pendant son absence : comment passera-t-il sa journée sans pouvoir lancer des mesquineries puisque le Bleu n'est pas là ? 
Il faut penser au bien-être du Chef. C'est faire acte de bienveillance, si chère au Chef ;-)
Le Bleu a donc trouvé un Bleu par intérim en la personne de P'tit Bleu. 
Vous savez, P'tit Bleu ? Vous l'avez déjà rencontrée au moment de la "ronchonnitude" du Chef. C'est pour moi l'occasion de vous présenter la hiérarchie des Bleus. Eh oui, les Bleus fonctionnent comme les Chefs, par strate hiérarchique.
Hiérarchiquement, il y a donc d'abord le Bleu, puis le P'tit Bleu (qui peut devenir Bleu en montant en grade). Le Bleu par intérim c'est une sorte d'intermédiaire entre les deux.
Le P'tit Bleu est en quelque sorte le bleu du Bleu. Donc, en toute logique, le Bleu a le droit de lui faire subir ce que le Chef fait subir au Bleu. En somme, le Bleu peut se défouler.
...
Oui mais non ! 
Là encore, la logique du Bleu se retrouve confrontée à celle du Chef.
D'après le Chef, le Bleu peut en effet se défouler sur le P'tit Bleu mais le P'tit Bleu peut, lui, se plaindre auprès du Chef qui, forcément,  en chef bienveillant et juste, prendra fait et cause pour le P'tit Bleu et se vengera sur le Bleu.
En somme : le Bleu l'a dans le baba.

C'est trop injuste !!!!!!!!!!!!!!

Sur cette dernière complainte, le Bleu vous quitte et vous souhaite à toutes et à tous de très belles fêtes de fin d'année.
Et pour reprendre une formule du P'tit Bleu mais à la sauce Bleu : "Paix, Joie et Schtroumpfs (en chocolat, car c'est Noël)"

BONNES FÊTES 

dimanche 9 décembre 2012

La logique d'être illogiquement logique : le retour

Bonsoir à toutes et à tous,

Comme vous le savez déjà, le Chef a une logique propre et forcément différente de celle du Bleu. Là où le gouffre de logique est le plus important entre le Bleu et le Chef, c'est sur le point de l'existence même du surnom du "Bleu". Car, comme vous le savez et comme déjà exprimé dans la note fort lointaine du 16 janvier, le Bleu, c'est le nouveau et est amené à être remplacé dès qu'un nouveau débarque. Ca c'est la logique du commun des mortels, et donc du Bleu.
Ce n'est pas la logique du Chef.

Nouvelle illustration en fin de semaine :

Alors que le Bleu et le Chef déjeunaient avec d'autres collègues, ces derniers n'étant pas au fait de l'existence du surnom "le Bleu" affublé au dit Bleu, le Chef le leur explique. Et là, forcément, la logique des collègues suit celle du Bleu : le Bleu n'est bleu qu'en attendant la venue du prochain dans l'équipe... 
Et là, la réaction du Chef a été implacable :

Le Chef : Ah non ! Même quand il y aura un nouveau, le Bleu restera le Bleu. C'est un fait acquis et indéniable. Regardez dans la série NCIS [la référence] : McGee, qu'est le Bleu, reste encore et toujours le Bleu.

Là, face au soupir presque désespéré du Bleu, le Chef a eu un geste bienveillant (c'est dans sa nature) et s'est tourné vers le Bleu :

Le Chef : Mais ne t'inquiète pas, le Bleu. Tu pourras appeler le nouveau comme toi, si tu veux. 
Le Bleu : C'est vrai ?
Le Chef : Tu pourras même le traiter comme un bleu. Ça sera le Bleu du Bleu.
Le Bleu : Donc, je pourrais le torturer ? Cool !

Conclusion : Il en faut peu pour faire plaisir au Bleu et le Chef le sait. 
Bon, quand est-ce qu'arrive la cargaison de nouveaux ? Ça pourrait être une bonne idée de cadeaux de Noël, ça, non ?


Bonne soirée à tous & Joyeux Anniversaire, Chef !!
(et je ne fais toujours pas acte de flagornerie^^)


mardi 4 décembre 2012

Être ou ne pas être bon : that's the question !

Comme vous le savez, le Chef est connu pour sa bonté. Il est bon, bienveillant... ou pas.

Explication :
Le Chef appelle le Bleu pour lui montrer une photo de lui. C'est une photo d'identité dernier cri : cela signifie que comme sur toute photo d'identité d'aujourd'hui, depuis la nouvelle règlementation, le Chef ressemble à un homme dangereux pris en photo pour son entrée en prison. Vous savez, le genre de photo qu'on voit dans les films américains, avec la pancarte de l'immatriculation et le prisonnier qui a un regard de tueur ?
Ambiance, donc.
Quand le Chef explique que cette photo accompagnera un livre qu'il doit envoyer à une université, le Bleu ne peut s'empêcher de faire une remarque (sinon, il n'y aurait pas de note hein^^) :

Le Bleu : Avec cette photo, ils auront soit peur de le lire, soit ils vont le lire car ils auront peur des représailles.
Le Chef : C'est ça, le but ! Ils doivent lire sinon ils auront droit au sourire kabyle.
Ce dernier propos est bien sûr suivi de la gestuelle*. Le Chef enchaîne face au regard incrédule du Bleu :
Le Chef : Tu ne connais pas le sourire kabyle ? Ca ne m'étonne pas ! Tu es foncièrement bonne.
Le Bleu : Pas du tout. Je peux être méchante.
Là, c'est au tour du Chef de jeter un œil incrédule au Bleu.
Le Chef : Méchante, toi ? 
Le Bleu : Bien sûr. Après tout, je suis votre exemple.
Le Chef : Mais non, le Bleu, ce n'est pas dans ta nature d'être méchante. Mais dans celle du Chef, oui !

Conclusion : Je ne sais pas vous mais le Chef commence à vraiment faire flipper le Bleu... et pas seulement en photo.

* Le sourire kabyle était une méthode d'assassinat utilisée pendant la guerre d'Algérie consistant à égorger les gens. 


 copyright : site internet www.gifsoup.com

PS : L'auteure de ce blog tient à préciser qu'aucun Bleu n'a subi de souffrances physiques pendant la durée de cette conversation retranscrite ici. Le Chef est quand même par essence bienveillant, heureusement pour le Bleu.

Bonne soirée à toutes et à tous






lundi 26 novembre 2012

Le vide du Bleu

La définition du jour :

"Le Bleu, tu es comme un champ vide, un vide architectural où tout est à construire. Et c'est ce que je m'efforce de faire tous les jours : te construire petit à petit."

Le Chef a juste oublié un petit détail : vu que le Bleu est reconnu pour être aussi ectoplasmique et désarticulé, m'est avis que ces fameuses constructions manqueront quelque peu d'équilibre...

En somme, si le Bleu était une construction, il ressemblerait à ça : 


 copyright : blog www.quinquabelle2008.blogspot.fr

Le Bleu ne peut alors que souhaiter un bon courage au Chef dans sa réalisation - il en aura bien besoin :-)






mardi 20 novembre 2012

La ronchonnitude du Chef

(oui, le Bleu aussi s'amuse à faire des néologismes)

Aujourd'hui, le Chef était bougon, ronchon. Mais alors vraiment ronchon. On pouvait voir le gros nuage noir qui flottait au-dessus de sa tête. Pour vous imaginer à quoi ressemble le Chef de mauvais poil, prenez le nain Simplet et transformez-le en Grincheux. Ca vous donne le Chef du jour.
Ce qui est fort étrange, c'est qu'aujourd'hui le Bleu, lui, était de très bonne humeur. Peut-être parce que pour une fois, il n'avait rien à voir avec la ronchonnitude du Chef. De fait, étant de bonne humeur et dans un élan de bienveillance (et surtout de naïveté), le Bleu a essayé de redonner le sourire au Chef ronchon. 
Bien mal lui en a pris. 
Car forcément, le Chef a repris du poil de la bête et a attaqué le Bleu en règle. Comment, me demandez-vous ? Eh bien, en lui dressant son état pathognomonique.
Oui, vous avez bien lu : pathognomonique.
...
Oui, c'est encore un mot barbare du Chef. Alors, là, vous faîtes comme le Bleu et vous prenez votre ami le dictionnaire.
"Pathognomonique (notez déjà l'orthographe, elle aussi barbare) : adj. Se dit des signes caractéristiques d'une maladie, qui permettent de la diagnostiquer."
Notez la nouvelle caractéristique : être Bleu, c'est une maladie.
Ensuite, les syndromes de cette maladie d'après le Chef : "Des yeux chassieux et un sourire béat"
Quand je vous disais que le Bleu avait eu tort d'être gentil avec son Chef ronchon.
Mais le portrait du Bleu a empiré (sinon, ça ne serait pas drôle) : 
Alors que le Bleu rappelait au Chef que d'après lui, le Bleu, malgré ses yeux chassieux et son sourire béat, était increvable, là, une collègue (qu'on nommera P'tit Bleu et qui en plus, est une amie du Bleu, en vrai - la trahison n'en est que plus douloureuse) assène une sentence irrévocable : "T'es un cafard, en somme."
Ce qui, bien sûr, a fait plaisir au Chef. 
Mais le Bleu se rassure parce que même s'il a des yeux glauques, chassieux, une silhouette désarticulée, ectoplasmique, larvesque et qu'il est une maladie à lui tout seul, au moins il survivra à tout et notamment à la ronchonnitude du Chef. Yes !!!!!!!!

Et pour conclure, le lapsus du jour : 
Nous le devons de nouveau au Chef. Au détour d'une conversation, alors que le Bleu remet sur le devant de la scène le sujet du "possible prochain nouveau que vous serez obligé d'appeler le Bleu, surtout si ce n'est pas un chef adjoint" (pour vous rappeler l'interminable combat du Bleu sur son nom, c'est par ici), le Chef réplique :
Le Chef : J'y ai réfléchi. Et non, le Bleu, tu resteras le Bleu. 
Et là, le lapsus arrive.
Le Chef : Regarde dans NCIS : McGee reste le Chef.
Oui, vous avez bien lu : McGee, le personnage qui a inspiré le surnom au Bleu, qui est la mascotte de ce blog, est devenu le Chef. Et c'est le Chef qui l'a dit.
Le Chef qui a dû voir sur le visage du Bleu passer un éclair de triomphe s'est douté très vite qu'il y avait un souci dans ce qu'il venait de dire car il s'est vite repris :
Le Chef : Attends, le Chef dans NCIS, ce n'est pas McGee. Comment il s'appelle déjà ?
Le Bleu : C'est Gibbs.
Le Chef : Voilà. Gibbs est le Chef et McGee reste encore et toujours le Bleu. Comme toi.
Le changement hiérarchique et de surnom n'a duré que quelques secondes mais quelles secondes ! Le Bleu a hâte de découvrir le prochain lapsus du Chef. Sans ronchonnement.



samedi 10 novembre 2012

La vision du Chef

Dialogue de la vie quotidienne d'un Bleu et de son Chef :

Le Bleu : J'ai besoin de vos lumières.
Le Chef : Avec plaisir, le Bleu. C'est une mission pour moi que de t'éclairer et te sortir de l'obscurité de l'inculture. 
Le Bleu : C'est vrai, j'oubliais que vous saviez tout, que vous étiez Dieu.
Le Chef : Non, le Bleu. Je suis juste omniscient, clairvoyant, clairodiant...
Le Bleu : C'est bien ce que je dis : Dieu.
Le Chef : Tu m'as demandé toute à l'heure si j'étais de bonne humeur, c'est le cas, et tu viens là m'attaquer. Tu es une perverse narcissique !
Là, le Bleu fait mine de sortir du bureau, vexée par la remarque du Chef. Je dis bien "fait mine".
Le Chef : Mais c'est que tu es susceptible !
Le Bleu : Non, si je l'étais vraiment, nos échanges ne se passeraient pas aussi bien. Et puis, me traiter de "perverse narcissique"... Avec tout ce que vous me dîtes, je ne peux pas être narcissique.
Le Chef : C'est-à-dire ?
Le Bleu : Eh bien, les yeux ictériques, chassieux, glauques...
Le Chef : Surtout chassieux.
Le Bleu : ... la silhouette désarticulée, la ressemblance avec un Gremlins, l'ectoplasme... Toutes ces comparaisons ne poussent guère à être narcissique.
Le Chef : Et elles sont vraies.
Le Bleu : Ca, c'est vous qui le dîtes. C'est votre vision. Vous devriez changer de lunettes, d'ailleurs.
Le Chef : Comment peux-tu juger que ce que je dis est faux ? Tu n'es pas objective. 
Le Bleu : Vous êtes le seul à parler de mes yeux comme des yeux bleus glauques...
Le Chef : Parce que c'est vrai !
Le Bleu : C'est bien ce que je dis : vous avez besoin de changer de lunettes.
Le Chef : Bien sûr que non. Ma vision sur toi est juste et est la vérité puisque c'est la vision du Chef.

Conclusion :  Le Bleu a encore du boulot avant de changer la vision du Chef sur lui... Mais il l'aura un jour, il l'aura !

D'ailleurs, un autre combat du Bleu a connu une petite avancée : le changement de surnom.
En effet, ce même jour, saluant le Bleu (vêtu d'un pull rouge - ça a son importance), le Chef a eu ce génial lapsus :
Le Chef : Hello, the Red !... euh the Blue !
Malheureusement pour le Chef, le Bleu a bien entendu et s'accroche à ce lapsus : là aussi, le Bleu aura le Chef un jour, il l'aura !

Bon weekend à toutes et à tous




dimanche 28 octobre 2012

Les vacances du Chef

Depuis Vendredi 15h, le Bleu respire. Un fardeau semble s'être enlevé de ses épaules. Il se sent plus libre.
Pour quoi ?
La raison est très simple.
Le Chef est en vacances !!
Ce qui signifie que, pendant une semaine, le Bleu va se reposer - et peut-être s'ennuyer mais il va surtout se reposer.  
Enfin... c'est ce qu'il croyait.
Car le Chef en a décidé autrement : même absent, il est toujours là.
"N'oublie pas le Bleu, je te surveille, je suis partout."
Telle est la menace que le Chef a proféré au Bleu vendredi avant de partir. Il est même allé plus loin : il a annoncé au Bleu qu'il l’appellerait  à 6h du matin... le samedi et le dimanche. Damned !
Bon, le Bleu était d'abord dubitatif et s'est rassuré que c'étaient encore des mots, toujours des mots...
...
Mais le Chef est homme de parole et dès le soir, le Bleu a eu un message disant : "Je suis déjà entrain de te surveiller..."
Re-Damned !!

L'oeil de Moscou - euh du Chef - a encore frappé !
La parano va-t-elle guetter le Bleu ? La menace du Chef planera-t-elle vraiment malgré son absence ? Vous saurez tout cela au prochain épisode des aventures du Bleu & du Chef...


Bon dimanche & Bonnes Vacances au Chef

samedi 27 octobre 2012

La modestie du Chef : 2e

Comme vous le savez déjà, la modestie n'est pas un trait de caractère du Chef. Mais alors pas du tout.
La preuve : cette définition du Chef d'après le Chef himself

Le Chef : Je suis omniprésent, omniscient, omnipotent, clairvoyant
Le Bleu : Vous êtes Dieu, en somme.
Le Chef : C'est ça !
Le Bleu : Ce n'est pas possible - Dieu c'est Morgan Freeman.
(oui, bon, chacun ses références)

Cette définition du Chef a été mise en échec par le Chef himself (encore) lorsque, feuilletant un magazine, il s'est trompé sur la légende d'une photo. Son omniscience lui a fait défaut - ce que le Bleu, bien entendu, s'est empressé de faire remarquer (perfide ? jamais !). Le Chef s'est alors lancé dans une auto-critique :

Le Chef : J'ai des défauts. Je n'ai même que des défauts.
Le Bleu : Vous avez quand même quelques qualités...
Le Chef : Non, bien sûr que non ! Je ne suis que Défaut.
Le Bleu :  A force dire ça, on pourrait croire que vous faites preuve d'humilité, que vous êtes trop humble, modeste...
Le Chef : Ce n'est pas possible : l'humilité est une qualité. Or, je n'ai pas de qualité.
Le Bleu : C'est vrai, j'oubliais : la modestie, ce n'est pas votre fort !
Le Chef : C'est ça !

(Je tiens à préciser que cette partie de la conversation n'était pas une complainte du Chef... c'est quand même le Chef, il ne s'abaisse pas à se plaindre, surtout au Bleu)

Conclusion :  La modestie ne fait vraiment pas partie de la nature du Chef

Et pour finir, je vous partage une expression citée par the Bold Bold - qui n'est pas liée au contexte de la note mais que j'aime bien :
"Ce ne sont pas les tomates qui vont commander au jardinier"

Bonne soirée à toutes et à tous


PS : Pour ceux et celles qui n'auraient pas suivi la référence du Bleu, Morgan Freeman incarne Dieu dans la comédie "Bruce tout puissant" avec Jim Carrey. Et il a la classe ! :-)

copyright : site Allô Ci





vendredi 26 octobre 2012

L'identité du Bleu

Hier, journée comme les autres. 
Dans le cadre de son travail, le Bleu doit prendre rendez-vous avec le Chef. Après avoir consulté son agenda - rempli tel un agenda de ministre, bien sûr -, le Chef note le rendez-vous en mentionnant simplement : "Le bleu"
Ledit Bleu tilte : 

Le Bleu : Vous savez, j'ai un prénom.
Le Chef : Non, le Bleu, tu es identifié comme le Bleu.
Le Bleu : Ce n'est pas ce qui est écrit sur ma carte d'identité. J'ai un prénom et un nom, enfin deux (le Bleu a un nom composé)
Le Chef : C'est trop compliqué. Ici, tu es identifié comme le Bleu. 
Là, bien sûr, le Bleu proteste : si ses parents lui ont donné un prénom, c'est qu'il y a une raison. La réponse du Chef est imparable - car c'est le Chef, après tout :
Le Chef : Qui c'est qui décide ici ?
Le Bleu : Ben...c'est vous.
Le Chef : Ben voilà ! Le Bleu, tu es le Bleu. 
Ah oui ! Le fameux fait du Prince... enfin du Chef. Que voulez-vous dire en retour ?

Conclusion : Après les noms abracadabrantesques, l'État civil doit se préparer à voir apparaître la mention "Le Bleu" sur les cartes d'identité. C'est ça, le changement ! :-) 






mardi 23 octobre 2012

À la cantine

Manger à la cantine, c'est un moment de convivialité où l'on essaie d'oublier ses soucis et où l'on discute d'autres choses que de boulot (enfin, on essaye) avec ses collègues : bref, un moment de détente idéal pour former des liens avec ses collègues de travail.
Manger à la cantine, pour le Chef, c'est aussi le moment où il produit ses plus belles perles.
Extraits du jour :

- À table, un collègue - que l'on surnommera Chefi car c'est aussi un chef comme le Chef - fait remarquer qu'ils ont tous deux de la chance car ils étaient entourés de femmes :
Chefi (parlant du Chef, dit aussi El Chefo) : Je comprends mieux pourquoi il vient si souvent à la cantine ; là, entouré de femmes, il est chanceux.
Réplique du Chef : Non, ce n'est pas ça ! Ce n'est pas moi qui suis chanceux, mais elles qui ont de la chance d'être en ma compagnie
Oui, ne l'oublions pas : la modestie ne fait PAS partie de la nature du Chef

- Au détour de la conversation, le Chef parle de la loi de la nature...et de la loi du Bleu
Le Bleu : La loi du Bleu est de ne pas avoir de loi
Le Chef : Et la tâche du Chef est de le mettre dans le droit chemin... C'est une tâche difficile, harassante...
Le Bleu : Vous avez du boulot !
Comment ça, le Bleu est sans pitié ? Si peu, si peu 

Mais rassurez-vous pour le Chef, sa réponse n'a pas tardé à fuser lorsqu'en écrabouillant sa bouteille d'eau vide et bleue, il s'est exclamé :
Le Chef : Et un Bleu écrabouillé ! (en lisant, n'oubliez pas la note de jubilation)
Le Bleu : Que de violence !
Le Chef : Tu sais à quoi t'attendre, le Bleu !
Le Bleu : Mouais...Des paroles. Des mots, encore des mots.
Et là, chose incroyable, inimaginable... Le Chef s'est mis à chanter 
Oui, oui, vous avez bien lu : le Chef a chanté. Et bien sûr pas n'importe quelle chanson mais Paroles, paroles de Dalida & Alain Delon (cf. note du 27 septembre)
Ce qui, avouons-le, a fait plaisir au Bleu qui à son tour a jubilé : il a réussi à faire chanter le Chef (après l'avoir fait danser sur la chanson des Nains)
Bien sûr, le Chef a minimisé la victoire du Bleu : Le Chef est capable de tout, il peut tout faire, sans honte, il n'a pas honte et c'est ça être Chef ! The Chef !
La modestie, toujours la modestie...

Conclusion : Après avoir fait chanter et danser le Chef, le Bleu réfléchit à de nouveaux défis à faire faire au Chef... pour votre plus grand plaisir^^
(d'ailleurs, si vous avez des idées - et si vous n'êtes pas le Chef -, le Bleu est preneur :-))

Bonne soirée à tous et à toutes


lundi 22 octobre 2012

Le parfum du Bleu

Bonsoir à tous et à toutes,

Aujourd'hui, la note du jour fera plaisir au Chef (car le Chef n'a lancé la réplique du jour que pour apparaître ce soir sur ce blog - c'est son heure de gloire - fermons la parenthèse) et prouvera, si ce n'est déjà fait, que le Bleu n'est décidément pas une personne susceptible. 
Mais alors vraiment pas.
Levons donc le mystère dès à présent et dévoilons la Réplique du Jour.

Contexte
Nous sommes Lundi, il est 8h. Il est très important de le préciser car : a) Une heure matinale, surtout un lundi, n'est pas favorable au Bleu b) Une heure matinale est l'heure de prédilection pour une attaque du Chef.
Le Chef arrive et salue le Bleu. Et là, la Réplique du Jour fuse :
"Hum, le Bleu, vous sentez le bleu d'Auvergne"
Et voilà ! Après avoir critiqué le physique du Bleu (rappelez-vous les yeux ictériques, glauques, chassieux, la silhouette toute désarticulée et larvesque), le Chef a décidé de s'attaquer à son odeur. Comment voulez-vous que le Bleu cultive un tant soit peu d'amour-propre avec ça ? 
D'autant plus que cette allusion perfide du Chef a été appuyée par un collègue, qui a renchéri sur "le bon bleu d'Auvergne aux fines herbes et à l'ail" - Trahison ! Qui a bien sûr fait plaisir au Chef. Double trahison !!

Conclusion : Mangez du Bleu (d'Auvergne) parce que c'est bon (miam, miam comme dirait Guizmo) mais le Bleu (du Boulot), lui, risque d'être immangeable. Alors vive le fromage ! :-) 

copyright : http://www.fromages-aoc-auvergne.com/Bleu-d-Auvergne-AOC 

 

PS : Le Bleu tient à préciser qu'il n'a pas été approché pour faire de la pub à un certain fromage, quoiqu'on pourrait le penser en lisant cette note - mais le Bleu d'Auvergne, c'est quand même toujours bon !




dimanche 7 octobre 2012

Un jour, mon prince viendra

Vendredi matin :

Pour une fois, le Chef a quitté son uniforme pour des habits civils. Le Bleu salue ce changement vestimentaire, d'autant plus qu'il va bien au Chef. Et là, le Bleu a le malheur (pour lui) d'embrayer sur l'évocation d'un polo rose que le Chef a porté et que le Bleu n'a pas aimé (son honnêteté le perdra) :

Le Chef : Le Bleu, je te fais remarquer que tout le monde aime ce haut, il n'y a que toi qui ne l'aimes pas.
Le Bleu : Je sais, mais c'est comme pour votre coupe - enfin votre absence de coupe. Tout le monde l'aime, sauf moi. Je n'ai pas les goûts de tout le monde, au moins je reste originale.
Le Chef : Oui. Vu tes goûts, j'ose à peine imaginer ton futur prétendant.

Et là, le Chef s'est fait une joie de dépeindre l'heureux élu au Bleu :
Comme le Bleu est une poupée désarticulée aux yeux glauques, ictériques, son prince charmant sera petit, mal odoriférant, aux grandes oreilles, bossu... Bref : un Quasimodo puissance 10

Quel joli couple, non ?

samedi 6 octobre 2012

Bonne fête, Chef !

Aujourd'hui, 6 octobre est un jour spécial.
C'est le Jour de la Fête du Chef.
Alors...

BONNE FÊTE, CHEF !!!!!


(comment ça, le Bleu fait de la lèche ? Mais point du tout !)

Et comme Chef, vous le valez bien, voici une petite vidéo originale pour vous souhaiter une bonne fête :


Perfide, le Bleu ? Jamais ! :-)

Baisse de tension

A force de mettre son équipe sous tension positive, le Chef a la tension basse. Rassurez-vous, pas de malaise en vue. Au contraire : le Chef est en pleine forme ! Au point qu'il suit un étrange régime pour faire remonter sa tension puisque son médecin lui a dit : Monsieur le Chef, mangez du sel.
Le Chef fanfaronne depuis : un régime hors de portée de Monsieur et Madame Tout le Monde est un régime pour le Chef.
Oui, le Chef est un extraterrestre.
Alors le Bleu a bien eu l'idée d'aider le Chef à faire remonter sa tension en mettant en place la tension positive inversée : au lieu que ce soit le Chef qui mette le Bleu et ses collègues en tension, c'est le Bleu et ses collègues qui mettraient en tension le Chef.
Logique, non ?
La réponse du Chef a fusé : "Hahaha, on voit bien là que la candeur naïve du Bleu. Si tu crois m'avoir comme ça, tu te goures. Vous n'aurez pas ma peau, viles charognes !"
Le Bleu et ses collègues sont prévenus : le Chef est coriace. 
Très coriace.

L'explication foireuse : Il y a peut-être un phénomène d'ascenseur entre la tension du Chef et celle du commun des mortels dont fait partie le Bleu : plus la tension du Chef est basse, plus celle des autres monte, comme s'ils absorbaient la tension du Chef comme des vampires. 
Oui, bon, le Bleu a une imagination bizarre.

Bon weekend à toutes et à tous

vendredi 5 octobre 2012

Bleu larvesque

Aujourd'hui, comme tous les matins, le Chef a inspecté les yeux du Bleu :

Le Chef : Comment sont vos pupilles, le Bleu ? 
Verdict ? Torves, chassieuses, glauques ?
Eh bien non ! Les pupilles du Bleu étaient reposées, pétillantes. 
Le Bleu a bien vu que ce constat a presque déçu le Chef. Mais il y avait une explication au regard reposé du Bleu : la veille, le Bleu a pu bénéficier d'une longue nuit de sommeil.
Forcément, l'esprit taquin du Chef a sauté sur la réponse du Bleu pour la tourner en son désavantage : si le Bleu est reposé, c'est parce qu'elle a fait sa larve, toute molle, flasque.

Conclusion : Après avoir été Gremlins et une poupée désarticulée, le Bleu ressemble maintenant à une larve (avec ou sans yeux ictériques). Charmant !

I've got the power

Cette semaine, le Bleu a fait une extraordinaire découverte. Quelle est-elle, vous demandez-vous ? Eh bien, que le pouvoir peut s'inverser. Surtout s'il s'incarne en une clé.
Explication à travers deux situations :

Situation n°1 :
Comme la dernière note l'a expliqué, le Bleu s'est retrouvée à gérer le fort seule. Pour la pause de midi, le fort a été fermé. Ce qui fait que les collègues du Bleu, partis déjeuner avant, se retrouvaient à la rue s'ils n'avaient pas la clé. Intérieurement, le Bleu a jubilé : enfin il avait une sensation de pouvoir ! (niark, niark, comme ricanerait un méchant d'un dessin animé). 
Le Chef s'est ainsi retrouvé en son pouvoir. Bon, seulement quelques secondes. Le temps pour le Bleu de passer sa clé afin que le Chef puisse retourner dans son bureau (qui se trouve au même endroit que le fort du Bleu, pour ceux et celles qui ne le sauraient pas). 
Mais quelles secondes, mes aïeux !
Le Bleu en jubile encore.
Bon, le Bleu a été vite ramené à la réalité par une collègue qui lui a fait remarquer que "ce pouvoir était une illusion, permise vu que c'était le weekend."
Mais quelle illusion, mes aïeux !
Le Bleu en rêve encore.

Situation n°2 :
Là, le Bleu a vécu l'illusion de pouvoir par procuration.
C'était un matin (en général, tout se passe un matin). Le Chef a voulu prendre son café matinal mais s'est retrouvé à la porte de la salle où se trouve la machine à expresso, à l'étage. Le Bleu est arrivée avec la collègue qui a le sésame : la clé de la salle à la machine à café. 
Là, la jubilation par procuration envahit le Bleu (il lui en faut peu, me direz-vous) : 
Le Bleu à la collègue qui a la clé : Profite, prends ton temps, tu as le pouvoir.
Cette remarque vaut au Bleu un regard plus que dubitatif de la part du Chef (qui était ceci dit en position de pouvoir vu qu'il était en haut, entrain de surplomber la scène - le Chef ne perd jamais totalement le pouvoir)
Le Chef : Le Bleu, tu oublies que je suis le Chef et que tu n'es qu'un bleu.
Le Bleu : Oui mais je suis the Bleu
Comment ça, le pouvoir monte trop vite à la tête du Bleu ?
Bon, finalement, la collègue a délivré le Chef et le Chef a pu boire son café du matin. Et le Bleu... ben est toujours le Bleu, sans pouvoir. Mais toujours avec la clé :-)

La pensée foireuse du jour : Si avoir les clés procure le pouvoir, alors Passe-Partout est le vrai maître de Fort Boyard. C'est le Père Fourras qui doit pester dans sa barbe...



vendredi 28 septembre 2012

L'oeil de Moscou

Aujourd'hui, exceptionnellement, le Bleu avait une lourde tâche : tenir seule le fort (entendez par là le lieu de savoir dans lequel le Bleu travaille, c'est-à-dire une bibliothèque). 
Pour se rassurer, le Bleu sollicite des encouragements de la part du Chef :

Le Chef : Le Bleu, vous allez y arriver.
Le Bleu : Peut-être... De toute façon, vous ne pourrez même pas voir si j'ai survécu à l'épreuve vu que vous ne serez pas là.

Aïe ! Erreur tactique du Bleu : sa mémoire de poisson rouge lui a fait oublier que le Chef était un vrai œil de Moscou.
Le Chef, lui, n'a pas oublié :

Le Chef : Mais ce n'est pas parce que le Chef n'est pas là qu'il ne sait pas tout ce qui se passe. Le Chef est partout, il plane comme une ombre sans cesse et voit tout...

Conclusion : Après Alain Delon, le Chef prend des airs de Big Brother. La parano guette le Bleu...

Bon weekend et n'oubliez pas : le Chef vous voit !

jeudi 27 septembre 2012

Syndrome Alain Delon

Conversation du jour :

Après la taquinerie matinale du Chef :

Le Bleu : Heureusement pour vous, je ne suis plus aussi susceptible qu'avant.
Le Chef : Tu es susceptible, toi ? Je ne suis pas de style susceptible par contre. La susceptibilité, ça relève de l'orgueil.
Le Bleu : De l'orgueil ? Alors je devrais redevenir susceptible, moi
Le Chef : Pour faire face aux taquineries de son patron adoré.
Le Bleu : Adoré, adoré, peut-être pas... Par contre, je remarque que vous êtes frappé du syndrome Alain Delon : vous parlez de vous à la 3e personne
Le Chef : Eh oui, c'est un syndrome qu'on retrouve chez les personnes qui avancent en âge
Le Bleu :  Je vous ferai remarquer que toutes ces personnes ne sont pas frappées de ce syndrome, contrairement à vous.
Le Chef : Je suis un psychopathe dérangé, que veux-tu
(Là, j'avoue, en tant que Bleu, j'ai jubilé)
Le Bleu : Vous l'admettez enfin ! Dommage que je n'ai pas un enregistreur parce qu'après quand c'est moi qui vous le dis, vous le niez
Le Chef : Bien sûr, c'est pour ça que je fais exprès de le dire quand tu ne peux pas l'enregistrer 

Conclusion : Le Bleu n'a peut-être pas de quoi enregistrer le Chef mais l'aveu est maintenant écrit et comme on dit : "les paroles s'envolent mais les écrits restent" :-)


Et pour finir, je laisse la parole à Alain Delon ;-) 





mardi 28 août 2012

Le complot du Bleu

Récit d'un complot ordinaire  

Comme vous l'avez découvert dans la note précédente, le Chef a une nouvelle coupe d'été. Enfin, une absence de coupe.
Bref.
Le résultat est que le Bleu fait partie des (très) rares personnes à en être perturbé. Voire très perturbé. Vous me direz, c'est facile pour le Chef de perturber le Bleu. Mais quand même !
Le Bleu a essayé d'expliquer à un collègue le pourquoi de sa perturbation vis-à-vis de la coiffure du Chef :
"Je ne sais pas...Ça lui donne un air de Simplet."
Le fou rire du collègue a donné alors une idée au Bleu.
Oui, ça arrive au Bleu d'avoir des idées.
Re-bref.
Et le complot est né. 
Quel complot, me direz-vous ? 
Un horrible, effroyable complot contre le Chef avec un grand but revendicatif : convaincre le Chef, désormais surnommé Yul Brynner ou Mister Yul (voire Mister Magouille, dixit une collègue) de faire revenir ses cheveux.
 Les méninges du Bleu ont donc chauffé - ainsi que son ordinateur - pour échafauder ce complot machiavélique mais d'une portée bienveillante (influence du Chef oblige, le Bleu ne peut être malveillant).
Les comploteurs - car oui, le Bleu n'était pas seul - ont donc eu la solution pour atteindre leur but : faire passer un message au Chef via son ordinateur. Et quoi de mieux que choisir Simplet comme messager ?

Après tentative de corruption d'un membre du service informatique pour avoir accès au compte du Chef (oui, le complot pousse le Bleu candide à de telles bassesses), puis recherche sur Internet pour trouver l'image idéale et la musique, bidouillage sur Word et le scan, voici donc l'image qui va trôner sur le fond d'écran du Chef :


Le tout doit normalement être accompagné de la musique "Hey Ho" de Blanche-neige et les sept nains à l'ouverture de la session d'ordinateur du Chef. Je dis bien normalement.

Aujourd'hui : Jour J, jour du complot

Profitant de l'absence du Chef, parti à une réunion, et couvert par le complice, le Bleu se faufile dans le bureau du Chef. Dire que son cœur bat fort, c'est peu dire : le Bleu étant candide et innocent, faire une bêtise comme ça lui procure une forte dose d'adrénaline ! Le dispositif est mis et le Bleu sort vite du bureau. La réunion s'éternise et le Chef ne rentrera s'asseoir devant son ordinateur qu'en début d'après-midi.
Le Chef est assis. Le coeur du Bleu bat de nouveau très fort. Le Chef allume sa session. Et là, premier échec : la musique ne se lance pas. Damned ! Heureusement, la photo est là. 
Et la réaction du Chef tombe...
....
...
Bonne, au grand soulagement du Bleu :
"Qui a fait ça ? C'est vous, le Bleu ?... Vous êtes une joueuse, le Bleu. Une perfide joueuse !"
Ouf ! Les comploteurs sont saufs.
Par contre, le Chef ne va pas se laisser attendrir par le Comité de soutien des cheveux du Chef et a décidé de garder encore un petit moment sa coupe estivale.
Damned !

Et voici ci-dessous la musique qui aurait dû fonctionner à l'ouverture de session de l'ordinateur du Chef (foutu ordi) - le morceau choisi commence en fait à 1'17 mais la version intégrale est quand même bien donc bon visionnage :




dimanche 5 août 2012

Le nom du Chef

Je sais, enfin une nouvelle note !

Et pour une fois, c'est le Chef qui y tient la vedette malgré lui. En effet, une injustice a été réparée : le Chef a désormais un surnom. 
Aujourd'hui, le Chef se promène avec une coupe capillaire estivale. Et c'est cette coupe (ou plutôt cette absence de coupe) qui a inspiré le Chef adjoint et il lui a donc donné le nom de Yul, en hommage à l'acteur Yul Bryner.

Bon, si comme le Bleu, vous n'avez pas la référence, Yul Bryner, c'est lui :


Il a joué notamment dans "Anna et le roi" (l'ancienne version, pas celle avec Jodie Foster) et "Les sept salopards". Pour en savoir plus, voici sa page wikipédia...

Le Chef sera donc appelé "Yul" tant que ses cheveux n'auront pas repoussé. Bon, au final, c'est plutôt un compliment, il pourrait faire pire. D'ailleurs, le Bleu, en voyant le Chef et sa nouvelle coupe, a plutôt pensé à un autre surnom en la personne du Professeur Xavier (cf. les X-Men, oui ce n'est pas la même génération que Yul...) Mais là, aussi c'est plutôt un compliment (pas pour les mêmes raisons, ceci dit). A vous de juger :





 




lundi 4 juin 2012

Miam, miam

La devinette du jour : Quel est le lien entre les Gremlins et le Bleu ?

Réponse du Chef : "Le Bleu, vous n'êtes pas humain. Vous êtes une sorte d'ectoplasme protéiforme. Vous êtes un mélange de Gremlins et de substance glauque."
Tableau charmant, n'est-il pas ? 
Mais si le Bleu est un extraterrestre, a-t-il au moins des supers pouvoirs ? Quitte à être bizarre, autant que ce soit fun ;-) 

NB : Notez l'amour propre du Bleu qui a choisi une image du gentil Guizmo pour illustrer les propos du jour. Car dans l'esprit du Chef, le Bleu ressemble plus à ce Gremlins là...


Miam, Miam !!! 



jeudi 31 mai 2012

La bonté du Chef

Conversation du jour :
Tout part de magazines - le Bleu annonçant au Chef que les vieux (magazines) sont aux archives...
"Vous insinuez que vous voulez me mettre aux archives, le Bleu ?
- Moi pas du tout. Je n'ai rien insinué. Je suis pure et innocente.
- Pure et innocente, vous ? La bonne blague !
- Je vous jure. Le Bleu, par définition, est naïf, candide, pur et innocent.
- Non, le Bleu est candide mais il peut y avoir de la perfidie dans la candeur.
- Oui, perfidie distillée par le Chef [...] Vous êtes perfide, mesquin...
- Comment ? Pas du tout ! Le Chef est juste, bon.
- Bon, bon, selon vous. C'est vous qui mettez le curseur de la bonté. Le fameux fait du prince.
- Et qui pourrait, mieux que moi, décider de ce qu'est la bonté ? [...] Je suis LA BONTÉ !!"
Que dire de plus ? 

Conclusion : Le Chef est juste, bon (qui a dit parfait ?) aussi bien que le Bleu est naïf, perfide en plus d'avoir un physique qui se déglingue...

D'ailleurs, en parlant de physique qui se déglingue, le Chef a décidé de s'attaquer au nez du Bleu : après les yeux glauques, torves, chassieux, et l'allure de marionnette désarticulée, le Bleu aura bientôt un nez à trompette...

Tout pour plaire :-)

mercredi 30 mai 2012

Imagine

Comme indiqué dans les notes précédentes, le Bleu est aujourd'hui habitué aux taquineries du Chef. Blasé, direz-vous ? Ou manque d'imagination du Chef dans ces taquineries ? Mais point du tout.

Voici la théorie du Chef :
"Le Bleu, vous êtes comme la feuille du songe ou du bananier. Ce n'est pas manque de perles de la part du Chef car le Chef est imaginatif. C'est juste vous qui êtes sourde et donc ces perles pleine d'imagination coulent sur vous."

C'est évident, mon cher Watson ! Ce n'est pas le Chef qui tourne en rond (ce n'est pas possible car le Chef est parfait ou plutôt vraiment très très proche de la perfection, ne l'oublions pas) mais le Bleu qui devient insensible à l'imagination foisonnante du Chef - ou qui devient sourd.
CQFD - et puis c'est tout !

NB : Au fait, voilà à quoi ressemble une feuille de songe si comme moi, vous ne saviez pas ce que c'était avant de lire cette note...


Bons songes à tous :-)

mardi 29 mai 2012

Poupée de plastique

Tout d'abord, je voulais vous présenter mes humbles excuses pour ce long silence. Plus d'un mois sans nouvelles du Chef et du Bleu, je sais, ça a été très dur pour vous. Rassurez-vous : le Chef et le Bleu vont bien. Les raisons de ce silence ? 
Les vacances du Chef et du Bleu - à des périodes alternées, va sans dire. Mais il y a aussi le phénomène de l'habitude. Eh oui, le Bleu s'est habitué aux taquineries prodiguées par le Chef depuis un an. L'effet de surprise n'est plus là donc les anecdotes sont moins savoureuses à raconter.
Enfin...
....
Le Bleu ne s'est pas totalement habitué aux taquineries du Chef.
Heureusement pour vous :-) 

La preuve :
Alors que le Bleu était à son bureau entrain de travailler (si, si, je vous jure), soudain un projectile le frôle. Impassible (fruit de l'habitude), le Bleu lève à peine les yeux et voit le Chef passer, hilare. Eh oui, le Chef avait retrouvé son âme d'enfant l'espace de quelques secondes et avait donc envoyé un mystérieux objet sur le Bleu. Le Bleu ramasse ledit objet suspect et demande ce que c'est au Chef. 
Et la réponse fuse (sinon y aurait pas de note) :
"C'est du plastique. Vous en avez besoin pour vous réparer vu votre démarche déglinguée"
Cette remarque fait suite à une théorie du Chef (vue par ici) selon laquelle le Bleu ressemblerait à une marionnette désarticulée.
Et là le Bleu commence sérieusement à se demander à quoi il ressemble en réalité quand il travaille. Parce qu'entre les yeux glauques ictériques et la démarche de Pinocchio, ben, le Bleu commence à avoir peur de lui-même !!

Voir un chirurgien esthétique, ça compte en frais de déplacement ? 

 
 

lundi 16 avril 2012

La fatigue du Chef

Le Chef a besoin de repos en ce moment. 
Comment le sait-on ?
Eh bien, quand le Chef "radote" et ne renouvelle pas ses répliques piquantes au Bleu (qui s'est reposée).
Ainsi, alors que le Bleu pose des affiches (c'est une de ses attributions officielles), le Chef le voit et lui lance :
"Vous êtes scotchante aujourd'hui... voire collante."
Rappelons que le Chef avait déjà fait cette remarque au mois de janvier, dans une situation semblable : la preuve ici

Oui, le Chef a vraiment besoin de repos...

dimanche 1 avril 2012

Anniversaire du Bleu


Eh oui, cela fait aujourd'hui 1 an que je suis devenue le Bleu. Et ce n'est pas un poisson d'avril !Comme quoi, devenir un Bleu le 1er avril, ça ne s'invente pas. C'était peut-être d'ailleurs un indice, un signe que j'aurais dû me méfier car j'allais subir les facéties et les plaisanteries du Chef.

Bon, allez, avouons-le : y a pire comme situation que d'être Bleu !

Et pour fêter ce premier anniversaire, voyons les résultats du sondage :

Pour rappel, la question qui vous était posée était la suivante : 
"Pour vous le Grand Schtroumpf, c'est :
a) Le Chef des Schtroumpfs
b) Le Sage des Schtroumpfs
c) Les deux
d) Rien du tout, vous préférez Gargamel

Ce sondage avait été mis en place pour trancher un "différend" qui sépare le Bleu et le Chef sur la nature du Grand Schtroumpf, le Bleu soutenant mordicus que le Grand Schtroumpf ne pouvait pas être le Chef des Schtroumpfs vu qu'il est bleu. Et la réponse du Chef était qu'il n'était pas le Chef, mais le Sage. Pour vous rappeler les prémices de ce conflit, c'est ici.

Donc, pour trancher définitivement ce différend, le Bleu a fait appel à vos bonnes âmes.
Vous avez été 8 à voter - et je vous en remercie d'ailleurs.
Et les résultats sont :
- 3 d'entre vous ont voté pour le fait que le Grand Schtroumpf était le Chef des Schtroumpfs
- 1 a voté pour le fait que c'était le Sage des Schtroumpfs
- 4 ont voté pour les deux
- 0 pour le "rien du tout"

Conclusion : Le Grand Schtroumpf est le Chef et le Sage des Schtroumpfs.

Le Bleu et le Chef ont donc tous les deux raison. Que c'est beau !

Allez, bonne soirée à toutes et à tous et à très vite pour de nouvelles aventures "bleuesques"


lundi 26 mars 2012

La stratégie du Bleu

Après avoir étudié la stratégie du Patron - qui consiste à ne pas en avoir -,  le Bleu a décidé de suivre cet enseignement et de changer ses règles stratégiques. Et ce que l'on peut dire, c'est que ça a marché.

Illustration :

Le matin d'ordinaire, le Chef prononce la première attaque en diagnostiquant généralement l'état du Bleu ; le florilège d'yeux chassieux, glauques, etc. c'est le matin qu'il se produit pour que le Bleu commence bien sa journée.
Aujourd'hui, changement. Le Bleu a pris les devants et a lancé une petite taquinerie au Chef avant que celui-ci puisse prodiguer la sienne. Et au dire du collègue témoin de la scène, le Chef en a été surpris. Et le résultat : les yeux du Bleu sont passés du glauque douteux à un joli "insolent", voire "irrévérencieux".

Bon, le Bleu sait que le Chef va se venger. Et que sa vengeance sera terrible. Mais ça en valait la peine ;-)

dimanche 25 mars 2012

Le retour du Chef : 3e

Après un périple de près de deux semaines du côté de l'Orient - d'où le silence sur ce blog - le Chef est revenu (avec l'oeil plus ou moins ictérique d'ailleurs, restes des effets de l'alcool de riz ;-) ).

Et avec le retour du Chef, c'est le retour des taquineries sur le Bleu. Morceaux choisis :

- Le Bleu a maintenant l'oeil torve et glauque
- Le Bleu est perfide (au contraire du Chef, qui est bon, bien sûr)
- Quand le Bleu est rayonnant, cela annonce des soirées glauques comme toujours

...

Cette avalanche de compliments fait dire au Bleu qu'il a manqué au Chef pendant son périple ;-) 

NB : Et n'oubliez pas, vous avez une semaine encore pour répondre au sondage. Alors, allez-y ! Ça ne vous prend que quelques secondes et ça peut faire beaucoup pour le Bleu.

Bonne fin de dimanche à tous et à toutes

mercredi 7 mars 2012

Les yeux du Bleu : encore et encore

La saga linguistique continue !
Oubliez les chassieux, ictériques, vides et cie ! C'est démodé !
Car aujourd'hui, d'après le Chef, les yeux du Bleu sont :
...
...
...
"GLASSIEUX" !!

Bon, ce n'est pas la peine d'ouvrir votre dictionnaire : ce mot n'existe pas. Contrairement aux autres noms barbares utilisés par le Chef et qui ont bel et bien une définition, celui-ci est une pure invention du Chef.
Ben oui, Glassieux = Chassieux + Glauque

Oui, je sais, vous êtes déçus. Vous vous attendiez à un nouveau mot sorti d'on ne sait où dont seul le Chef a le secret. J'avoue, moi aussi. A croire que l'inspiration du Chef n'était pas au rendez-vous... 

Conclusion : Le Chef devrait peut-être repartir en vacances prolongées pour retrouver toute son inspiration...

NB : Autre "faux mot" trouvé par le Chef pour toujours décrire les yeux du Bleu : "subictérique". Que dire de plus ?

mardi 6 mars 2012

Duplicité et troubles de la vue

Petites scènes de la vie quotidienne du Bleu et du Chef

Troubles de la duplicité

Le Bleu photocopie. Le Chef passe :
"Faites attention à ne pas vous dupliquer, déjà qu'avec un Bleu, c'est difficile, alors deux..."

 Troubles de la vue

Le Chef présente le Bleu à un collègue en le présentant comme "Bleu". Le Bleu fait alors remarquer que oui, comme tout être humain, il a aussi un nom et un prénom. Pour preuve : ses nom et prénom sont affichés sur un chevalet. Sauf que le Chef n'a pas la même lecture : pour lui, il est écrit Bleu. 
"Vous avez un problème de vue si vous lisez le Bleu, là-dessus.
- Le Bleu, vous osez dire que le Chef a un problème de vue... Vous prenez des risques, le Bleu !
- [...] Si vous lisez bleu alors que ce n'est absolument pas écrit, vous commencez à m'inquiéter, Chef.
- Vous devriez plus vous inquiéter pour vous, le Bleu."

Même pas peur !

lundi 5 mars 2012

Le retour du Chef : 2e

Aujourd'hui, sur le chemin du travail, le stress a envahi le Bleu.
Une boule d'angoisse dans le ventre.
Pour quelle raison, me direz-vous ?
C'était un lundi comme les autres. Sauf que...
...
le Chef revenait de vacances !!!
Et l'angoisse du Bleu était justifiée : à peine arrivé, le Chef a scruté le Bleu et la réplique a éclaté.
Cette fois-ci, ce ne sont pas les yeux qui ont pâti des piques du Chef, mais ses cheveux.
Le Bleu a eu ainsi la mauvaise idée de se faire des couettes alors le Chef, en plus de l'éternel surnom "Fifi Brindacier", lui assène :
"On dirait des balais brosse... On imagine les tremper dans la mousse de rasage et s'en mettre sur le visage. Mais il faudrait pour ça que le Bleu bouge avec nous..."

Donc, selon le Chef, quand le Bleu se fait des couettes, il ressemble à cela :






Oui, le Chef de retour de vacances était en pleine forme.
Et, à partir de ce soir, le Bleu coche les cases de son calendrier : c'est quand déjà les prochaines vacances du Chef ?

mercredi 29 février 2012

En vacances

Juste pour vous signaler que cette semaine, il n'y aura pas de note (enfin, sauf celle-là).
Pourquoi ?
Parce que ce sont les VACANCES !!!!!!!!!!!!!!!
...
Enfin, plus exactement, ce sont les vacances du Chef.
Mais qui dit vacances du Chef, dit absence du Chef donc le Bleu est tranquille, tranquille...

Conclusion : Vive les Vacances du Chef !!!!!!!!



jeudi 23 février 2012

Pensée unique

Aujourd'hui, un collègue demande l'avis du Bleu sur un document de travail. Le Bleu le lui donne.
Et là, la sentence tombe : "Tu as fait les mêmes objections que le Chef"
Aïe !
Ça n'annonce qu'une chose : le formatage de la pensée du Bleu par le Chef commence à faire effet.
...
En même temps, si le Bleu commence à penser comme le Chef, c'est plutôt bon signe - pour le Bleu, s'entend : le Bleu pourra bientôt prendre la place du Chef. 

Bon, comme l'a clairement laissé entendre le Chef quand le Bleu a émis cette hypothèse à voix haute (la candeur du Bleu le perdra) : le Bleu peut toujours rêver !!

Et pour conclure :

La devise du jour (signé d'un collègue du Chef) : "On ne discute pas avec les brouettes, on les pousse"

A méditer :-)

mercredi 22 février 2012

Les yeux du Bleu : suite

Hier, le Chef a rajouté un nouvel qualificatif pour décrire les yeux du Bleu. Après "glauques", "vides", "ictériques" et "chassieux", les yeux du Bleu sont des ectoplasmes

Le Bleu en vient à se dire :

1) qu'il faudrait qu'il installe un miroir au-dessus de son ordinateur pour pouvoir mieux scruter ses yeux - mais le Bleu risque de se faire passer pour le narcissique qu'il n'est pas...

2) que les yeux du Bleu ont une vie propre au reste du corps et qu'ils doivent faire la java tous seuls quand le corps du Bleu se repose...

3) que les interprétations du Chef sont erronées et pure imagination de sa part - mais chut ! faut pas le crier trop fort ! (surtout qu'il ne faut pas oublier que "la vérité du Chef est la vérité"... soit-disant) 

Conclusion :  Ces qualificatifs élogieux marcheraient-ils encore si le Bleu change d'yeux ? Bonne question...




dimanche 19 février 2012

Les yeux du Bleu

Vendredi matin

Le mot du jour : Ictérique

Comme à son habitude, le matin, le Chef regarde le Bleu avec un air suspicieux, et plus précisément ses yeux. Ce matin, le couperet est tombé :
"Le Bleu, vous avez l’œil ictérique"

Par essence, le Chef n'aime pas parler le langage commun à la majorité des gens. Non, ça serait trop facile. Où serait le plaisir de poser une colle de bon matin au Bleu, sinon ?

Comme Internet est l'ami du Bleu, voici la définition de ce doux mot du matin :
"Ictérique : Relatif à l'ictère = coloration jaune de la peau et des muqueuses, appelée couramment jaunisse, symptomatique d'une accumulation anormale de pigments biliaires dans ces tissus.

Résumons :
D'après le Chef, les yeux du Bleu sont :
- Chassieux
- Glauques
- Vides
- Ictériques
...

Conclusion :  Le Bleu va aller au travail avec des lunettes noires


jeudi 16 février 2012

Set et match

Aujourd'hui, le Bleu pose une question au Chef - ça lui arrive assez souvent en fait.
Peu importe la question.
Réponse du Chef : "C'est bien le Bleu, c'est une bonne question. Tu ne seras pas licencié tout de suite."
Réplique du Bleu - oui, le Bleu réplique, ça fait partie du jeu : "Vous ne pouvez pas me licencier, il faut que je commette une faute..."
Et là... eh bien le Chef n'a pas su quoi répondre !
Si, si, je vous jure !!

Le Bleu peut donc officiellement proclamer qu'il a mis K.O. le Chef !!
Yes !! (et là le Bleu entame une danse de la victoire)

Au prochain match :-)

PS : En parlant de match, n'oubliez pas de voter au sondage sur le Grand Schtroumpf, pour l'instant c'est serré, vous avez jusqu'au 1er avril pour décider qui du Chef ou du Bleu a raison... Bon Vote !

mardi 14 février 2012

La modestie du Chef

Oui, je sais, enfin une nouvelle note.
Ça commençait à faire longtemps.
La faute à qui ? ... Au Chef, pour une fois :-)
[Notez que je n'ai pas dit "Comme d'habitude", je commence à connaître le concept de flagornerie]

Oui, comme je l'ai d'ailleurs fait remarquer au Chef ce matin, je n'avais rien d'intéressant à me mettre sous la dent. Le Bleu est un peu maso sur les bords.
Réponse du Chef :
"Mais tout ce que je dis est important, c'est un ravissement que le Bleu, tel un buvard, absorbe pour s'élever..."

Qui a dit que la modestie ne faisait pas bon ménage avec le Chef ?

Le Proverbe du jour : détourné d'un proverbe arabe par le Chef
"Si le Chef bat le Bleu et qu'il ne sait pas pourquoi, le Bleu, lui, le sait"

Je vais peut-être m'acheter un casque et une armure, moi...

Et pour finir, puisque c'est la Saint Valentin et puisque le Bleu est cynique face aux roucoulades du jour, une petite chanson pour les amoureux :




JOYEUSE SAINT VALENTIN A TOUS LES AMOUREUX ET TOUTES LES AMOUREUSES - ET AUSSI A CEUX ET CELLES QUI NE SONT PAS AMOUREUX (PARCE QU Y A PAS DE RAISON !!) :-)


jeudi 9 février 2012

Définition

Malgré les commandements 5 et 6 (pour vous les rappeler, c'est ici), le Bleu s'entête. Comme dit le Chef, il est "monomaniaque".
Après la question du Grand Schtroumpf - n'oubliez pas de voter d'ailleurs, vous avez jusqu'au 01 avril - c'est la définition même du Bleu qui entraîne un litige entre le Chef et le Bleu. Ou plus précisément, le fait que, dans l'esprit du Bleu, le bleu est remplaçable à chaque nouveau venu - et, que, bien sûr, le Chef n'est pas dans la même logique.

Donc, en cherchant des arguments pour appuyer ma vision du Bleu, j'ai trouvé des éléments pour peaufiner la définition donnée pour la première note du blog.

Selon les dictionnaires : le bleu, c'est le jeune soldat, le jeune militaire nouvellement incorporé, le nouvel élève, le débutant inexpérimenté, le nouveau bleu : bref, le nouveau.
Ainsi, l'expression "se faire avoir comme un bleu" signifie donc qu'on se fait avoir "comme un débutant".

Pourquoi la couleur bleue pour désigner le nouveau ?
D'après plusieurs sites internet, cela se rapporte à l'histoire de l'armée. Ainsi, en 1793, la Convention décide que l'Infanterie s'habillera en bleu au lieu du blanc. Mais, en raison de problèmes financiers, seules les nouvelles recrues se retrouvent habillées en bleu, les anciens soldats restant en blanc.
Une variante veut que cela soit lié au turban du képi dans l'armée. Celui des appelés, des nouveaux de l'Infanterie était ainsi bleu afin de le différencier de celui des professionnels.

Source : http://distusaispourquoi.centerblog.net/2278037-Pourquoi-un-debutant-est-il-un--bleu-- ; http://www.pourquois.com/francais/pourquoi-debutant-est-bleu.html

L'info qui ne sert à rien : En anglais, le Bleu se dit "Probie" et désigne notamment le pompier récemment recruté...
Tiens, tiens.
Finalement, c'est une info qui ne sert pas forcément à rien :-)


mercredi 8 février 2012

Sondage et fous rires en tout genre

Tout d'abord, pour trancher une bonne fois pour toutes un débat qui crée des divergences entre le Bleu et le Chef, vous trouverez un sondage dans la colonne de droite, en-dessous du nombre de visites/clics calculés sur ce blog. Je vous invite donc à répondre à cette question existentielle pour départager le Chef et le Bleu et lever le voile sur la nature profonde du Grand Schtroumpf : Chef bleu ou non ?
Pour découvrir l'origine de ce litige, je vous invite à cliquer ici.

Fermons la parenthèse schtroumpfesque.
Aujourd'hui, le Chef était en forme. En forme olympique, même. Ce qui a donné lieu à une avalanche de maximes et de fous rires.
Extraits :
"Le Chef ne perd pas les cheveux, c'est son cerveau qui grandit tant en volume qu'il empêche la poussée normale des cheveux."
"Le Chef ne blanchit pas, il s'illumine"
(oui, le Chef a fait preuve d'une grande humilité aujourd'hui^^)

Le concept du jour : Le Bleu est tellement un concept, une entité à part, qu'il en perd sa propre identité sexuelle : futur(e)s Bleu(e)s, vous ne serez pas des hommes ni des femmes aux yeux du Chef, vous serez le Bleu. Et puis c'est tout!
...
Ah oui, et selon le Chef, vous serez un peu maso car vous prendrez plaisir à vous faire maltraiter (avec bienveillance, toujours) par le Chef.
Si, si.

PS : Je tiens à remercier le Chef et mes collègues pour le fou rire de ce midi qui m'a empêché pendant 10 bonnes minutes de boire mon café, de voir et même d'entendre le Chef. Enfin, les Chefs car le fou rire ne s'est pas arrêté devant le Chef du Chef - qui, heureusement, est lui aussi bienveillant.
Et pour vous faire partager mon fou rire d'aujourd'hui, je vous invite à regarder cet extrait - mythique - de l'émission de Marc-Olivier Fogiel, "T'empêches tout le monde de dormir" :



Et mon fou rire préféré - celui de Bill Clinton avec Boris Eltsine après que celui-ci ait traité les journalistes de "désastre" :



Bons fous rires à tous :-)