Ce matin, le Chef était particulièrement en forme. Il faut dire que ne s'étant pas entraîné le matin (cf. note sur "La forme du Chef"), le Chef débordait forcément d'énergie.
Un peu trop même au goût du Bleu et de ses collègues.
Jugez par vous-même :
Le Chef a ainsi accueilli un collègue par un "Salut, Rat putride", qu'il a ensuite décliné pour le Bleu avec un "Voilà le Bleu putride !" . Il a même salué l'arrivée de The Bold Bold par "Ah voilà, la grosse feignasse !" (oui, je vous balance, Chef - je persiste et signe même).
Oui, le Chef était particulièrement en forme.
Le Bleu tente alors de le calmer avec le café du matin (boisson essentielle pour le Chef). Le Chef et le Bleu se mettent alors à évoquer les vacances qui se rapprochent et qui feront du bien au Chef et au Bleu :
Le Chef : Ne t'en fais pas, le Bleu. Pendant tes vacances, hop, je t'enverrai quelques messages pour te remettre dans le bain, tout doucement, et maintenir la tension positive.
Le Bleu : Je n'attendais pas mieux de vous, Chef. Rassurez-vous, on pensera aussi à vous quand vous serez en vacances.
Le Chef : Je n'en doute pas, le Bleu.
Le Bleu : Comment pourrez-vous le savoir ?
Le Chef : Vois-tu, le Bleu, contrairement à toi, je n'ai pas un cerveau magmatiforme, gluant et spongieux. Je reçois toutes les pensées positives...
Le Bleu : Positives, positives...
Le Chef : Et même négatives, te connaissant, mais elles glissent sur moi. Je suis imperméable à tes mesquineries, le Bleu.
Le Bleu : Oui, et pour apaiser le poids de votre absence, on dressera une silhouette avec votre photo pour garder votre présence. On enregistrera même votre voix, comme ça on supportera mieux votre absence...
Le Chef : Voilà, le Bleu, tu as tout compris : c'est ça, l’œil de Moscou.
Conclusion : Vivement les vacances !
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